samedi 7 mars 2015

Conclusion

Le street art, depuis sa popularisation dans les années 70, commence donc à s'intégrer dans la société. Présent dans nombre de villes, il s'immisce même dans les musées et dans les galeries, l'amenant ainsi à être reconnu comme un art à part entière. Bien qu'ayant connu des débuts difficiles dans l'illégalité, le street art devient une mode, et est de plus en plus apprécié, et ce dans le monde entier. En effet, on assiste, depuis quelques années, à de nombreux événements liés à l'art de rue en Europe, aux États-Unis, mais aussi en Afrique et en Asie. Néanmoins, le street art oppose encore quelques réticences. Les instances officielles comme la justice ou la police sont encore très opposées à l'art de rue, ce qui entraîne nombre de procès et d'arrestations. Le cliché des tageurs voyous issus de classes défavorisées freine encore la reconnaissance du street art en tant qu'art à part entière. De plus, les messages sociaux et politiques qu'il peut véhiculer dérangent et sont ainsi source d'interdits et de dégradations des œuvres plus nombreuses encore.
Ainsi, le street art fait son chemin, et malgré les éléments qui freinent sa progression, il arrive doucement à la reconnaissance d'un art à part entière.

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